132 ans d’histoire déjà, remplie de différentes rencontres et évènements, qui ont su marquer de leur empreinte l’ADN de notre Maison, humaniste avant tout.
Tout remonte en avril 1888, à la demande instante du clergé genevois, une convention créant la société des Pompes Funèbres Murith SA fut signée.
Avec la collaboration de Messieurs Michel Fert et François Duparc, tous deux voituriers, Anselme Murith, alors sacristain de l’église Saint-Joseph, dirigea l’entreprise qui se constitua en société le 28 avril 1888. Il fut secondé en 1913 par ses fils Paul et Auguste. Le 14 septembre 1898, c’est à Anselme, que revint la lourde tâche d’organiser le convoi funèbre de Sa Majesté l’Impératrice Sissi d’Autriche.
En 1919, à l’initiative de Paul Murith, la société A. MURITH SA, entreprise spéciale de Pompes Funèbres était créée. Sous sa direction, la société se développa dans les cantons de Fribourg avec son frère Auguste Murith et dans le Valais.
De 1960 à 1981, ce fut Monsieur Henri Murith, fils d’Auguste, qui prit la direction. Fort de sa formation d’ébéniste, un atelier vit le jour dans la fabrication des cercueils. D’autres produits funéraires plus adaptés à la demande furent également fabriqués durant cette période.
Qui sommes-nous ?
Aujourd’hui, ce sont Jacques, Philippe et Jean-Marc qui dirigent la société. Trois frères avec pour mission de préserver l’identité de l’entreprise construite depuis toutes ces générations, tout en favorisant l’apport de la modernité dans les cérémonies et les technologies de notre temps. C’est ainsi que la Maison Murith se spécialise dans la personnalisation de cérémonie civile et/ou de toutes confessions.
Particulièrement attachés à l’humain, nous espérons apporter une pierre à l’édification de la chaîne d’entraide qui, du personnel soignant jusqu’aux administrations, assiste les familles en deuil.
De 1981 à 2020, ce fut Monsieur Jean Murith, fils d’Henri, qui dirigea la société. Il fut le fer de lance de la construction de l’immeuble où se trouve les locaux actuels. Des chapelles funéraires purent ainsi être créés, et ainsi valoriser les espaces de recueillement, à disposition des familles.
Ce fut également le début des soins de conservation (Thanatopraxie) dans l’entreprise, grâce à Jean. La fabrique de cercueil ne devenant plus rentable en termes de charge, il fut pris la décision depuis plus de 25 ans maintenant, d’importer des cercueils de qualités, à la mesure de l’attente des familles sollicitant nos services.